L’Association 1000 Sourires a une nouvelle fois su réserver une belle surprise à une vingtaine de petits saint-paulois. Les marmailles ont embarqué dans le bus de l’association sans connaître sa destination et ce n’est qu’une fois arrivés à Saint-Denis qu’ils ont découvert que Réunion La 1ère leur déroulait le tapis rouge.
C’est Vincent Hoareau, responsable des relations publiques et de la médiation des antennes, qui leur a ouvert les portes des studios, le temps d’une après-midi. Les enfants ont également été accueillis par Thierry Jardinot, qui officie sur les ondes de Réunion La 1ère, et du RC Strasbourg, Ludovic Ajorque, tout nouveau parrain de l’association. “C’est la première fois que je découvre les coulisses d’un média, donc je suis presque aussi excité que les enfants”, s’amuse le footballeur. “Je suis heureux d’accueillir les enfants sur mon lieu de travail, ajoute Thierry Jardinot. Ils vont apprendre énormément au cours de cette visite, et qui sait, cela fera peut-être naître des vocations”.
Noter les programmes de la chaîne
Dès leur arrivée, ils reçoivent leur premier cadeau : une casquette avec le logo de La 1ère, qu’ils s’empressent d’enfiler. C’est l’accessoire parfait pour poser pour une photo avec Frédéric Ayangma, le directeur de Réunion La 1ère qui est venu saluer les petits visiteurs.
Pour commencer l’après-midi en douceur, Vincent Hoareau leur propose un goûter devant la télévision. “Je voulais leur proposer de donner leur avis sur des dessins animés que la chaîne envisage de programmer”, précise-t-il. Les marmailles n’en loupent pas une miette et sont ravis de pouvoir noter les épisodes de “Luo Ba Bei” et “Les mystérieuses Cités d’or”.
Pour commencer l’après-midi en douceur, Vincent Hoareau leur propose un goûter devant la télévision. “Je voulais leur proposer de donner leur avis sur des dessins animés que la chaîne envisage de programmer”, précise-t-il. Les marmailles n’en loupent pas une miette et sont ravis de pouvoir noter les épisodes de “Luo Ba Bei” et “Les mystérieuses Cités d’or”.
Faire la pluie et le beau temps
Une fois la télévision éteinte, la visite des studios démarre. Les marmailles découvrent ainsi les loges, et ont même droit à une petite retouche maquillage, comme les invités du JT. Il est déjà l’heure de découvrir les studios où Léa Euphrosine, la présentatrice de la météo, s’apprête à enregistrer le bulletin du soir. Les enfants s’installent en silence et la regardent déclamer son texte d’une traite, devant le fameux fond vert.
Les enfants en profitent ensuite pour avoir des réponses aux questions qui leurs brûlent les lèvres : “comment vous savez quel temps il va faire demain?”, “c’est difficile de tout retenir par coeur”, "c’est dur de ne pas se tromper avec le fond vert ?”, etc. Léa Euphrosine est ravie de partager son expérience avec les enfants, qui viennent prendre la pose à ses côtés pour une photo souvenir
Les enfants en profitent ensuite pour avoir des réponses aux questions qui leurs brûlent les lèvres : “comment vous savez quel temps il va faire demain?”, “c’est difficile de tout retenir par coeur”, "c’est dur de ne pas se tromper avec le fond vert ?”, etc. Léa Euphrosine est ravie de partager son expérience avec les enfants, qui viennent prendre la pose à ses côtés pour une photo souvenir
Un aperçu du plateau du journal télévisé
Après la météo, direction le plateau du journal télévisé. Quelques heures avant le journal, tout est encore silencieux, mais les enfants peuvent déjà observer le fameux pupitre du présentateur, les énormes caméras, les projecteurs, les oreillettes, etc. “Cet espace est fait pour être opérationnel 24h/24, 7j/7, précise Vincent Hoareau. Si une information importante tombe, on peut immédiatement lancer un direct.
Le fameux prompteur attise leur curiosité. “C’est un petit peu plus facile que la météo alors, parce qu’on n’est pas obligé de tout retenir par cœur. Moi, je préfèrerais faire le journal plutôt que la météo”, analyse Arthur.
Le fameux prompteur attise leur curiosité. “C’est un petit peu plus facile que la météo alors, parce qu’on n’est pas obligé de tout retenir par cœur. Moi, je préfèrerais faire le journal plutôt que la météo”, analyse Arthur.
Juste à côté du plateau, les petits curieux découvrent le “nodal”, un terme qui désigne le centre technique par où transitent tous les signaux échangés avec le siège de France Télévisions, en métropole. Ils explorent ensuite la régie provisoire, qui accueille les équipes en attendant la rénovation de la régie principale.
Les marmailles prennent ensuite la direction de la rédaction. A quelques minutes du début du journal télévisé, la plupart des journalistes sont déjà rentrés chez eux et leurs sujets sont prêts à être diffusés. En revanche, Christelle Floricourt, la présentatrice du JT de 19h
est en pleine préparation de son journal. Elle prend tout de même quelques minutes pour saluer les enfants.
Les marmailles prennent ensuite la direction de la rédaction. A quelques minutes du début du journal télévisé, la plupart des journalistes sont déjà rentrés chez eux et leurs sujets sont prêts à être diffusés. En revanche, Christelle Floricourt, la présentatrice du JT de 19h
est en pleine préparation de son journal. Elle prend tout de même quelques minutes pour saluer les enfants.
De la radio au numérique ...
Dans les bureaux de la rédaction radio, c’est au tour du journaliste Stéphane Enilorac de saluer les VIM. “Stéphane est seul à cette heure, mais sachez que dans ce bureau, il y a des gens qui commencent leur journée à 2 heures du matin, car ils doivent préparer les premiers journaux de la matinée, illustre Vincent Hoareau. Dans nos locaux, il y a presque toujours du monde et notre mission, en tant que service public consiste à délivrer l’information quelles que soient les circonstances, cet endroit est fait pour être autonome. On peut tenir sans électricité pendant un mois !”
Près des serveurs impressionnants, les marmailles entrent dans la régie radio, où les équipes s’affairent pendant le direct de Claude Montanet. Le journaliste invite le footballeur Ludovic Ajorque à venir s’installer derrière l’un des micros afin de parler de son engagement aux côtés de l’Association 1000 Sourires, en direct. Côté régie, les petits visiteurs, assis près de la journaliste Elodie Ayé, sont intrigués par les consoles, les micros, mais aussi les caméras autonomes qui filment maintenant les émissions radio.
Les marmailles continuent à cheminer dans les couloirs et les escaliers et s’installent maintenant pour regarder le journal télévisé. Ils sont surpris de se découvrir dans l’un des sujets.
“C’est nous, s’étonne Yanélis. C’était vraiment super cette après-midi, j’ai appris plein de choses, et j’ai surtout aimé le moment où on était devant le fond vert”. “Moi j’étais contente de voir Christelle parce que je la regarde à la télé avec mes parents parfois, confie Mathéo.
Après un bon repas pris dans la cafétéria, les enfants reprennent le chemin de Saint-Paul.
“C’est nous, s’étonne Yanélis. C’était vraiment super cette après-midi, j’ai appris plein de choses, et j’ai surtout aimé le moment où on était devant le fond vert”. “Moi j’étais contente de voir Christelle parce que je la regarde à la télé avec mes parents parfois, confie Mathéo.
Après un bon repas pris dans la cafétéria, les enfants reprennent le chemin de Saint-Paul.
“Je tiens à remercier les équipes de Réunion La 1ère, car elles ont permis aux enfants de découvrir les coulisses d’une institution du paysage audiovisuel réunionnais, conclut Ibrahim Ingar. C’est important qu’ils comprennent comment se fabrique l’information et qui sont les hommes et les femmes qui travaillent dans les médias. Et qui sait, il y a peut-être de futurs journalistes, cadreurs et autres animateurs radios parmi eux”.