S'envoler vers le rêve ... à Marseille, Nice,
Monaco, Salon de Provence ...
de Marseille à Nice, du virtuel au réel

L'ancienne manufacture de tabac qui s'étale sur plus de 40 000 m2 en pleine rénovation abrite aussi une soixantaine d'associations culturelles et artistiques.

L'un des principaux bâtiments propose sur trois niveaux une exposition entièrement consacrée à l'univers de la glisse. En surf, en rollers, en VTT... chaque discipline y est représentée, parfois de manière concrète, parfois dans un monde virtuel, proche de celui de la glisse.

Invités par la Caisse d'Épargne, nos marmailles ont pu découvrir ou redécouvrir des activités qu'ils croient familières mais dont ils ignorent parfois toute la philosophie. Un moment en tout cas agréable qu'ils ont pu chacun apprécier à leur manière. Ils ont pu également profiter du toit-terrasse qui surplombe une partie de la ville phocéénne.

Nos petits saint-paulois sur invitation de la Caisse d'Epargne, ont eu également le privilège de déjeuner au Restaurant « Les Grandes Tables » où se cotoient les artistes.

Des œuvres artistiques de la « Belle de mai » à la patinoire municipale de Nice, les marmailles de « 1000 sourires » n'ont pas changer d'univers. Ils étaient toujours dans le monde de la glisse. Sauf que cette fois-ci, tout était réel surtout lorsqu'il a fallu chausser les patins et se lancer sur le miroir de glace. Un moment de folie, de fous rires aussi, mais un instant inoubliable pour ces petits saint-paulois découvrant autrement qu'à la télé les joies du patinage.

Les plus doués se sont vite pris au jeu. Pour les autres, les chutes, sans mal, étaient inévitables. Mais grâce à la complicité des jeunes niçois devenus experts dans la pratique artistique voire sportive du patin à glace, tous ont pu goûter à ce moment de bonheur, « exceptionnel » pour ces enfants, comme le souligne à souhait Ibrahim Ingar le président de l'association « 1000 Sourires ». Un président comblé qui n'en finit pas de remercier ses nombreux partenaires pour ces instants de rêve offerts à des petits saint-paulois qui, rappelons-le, viennent de familles de conditions modestes.