"S'envoler vers le Rêve ..."
Jour 7: Les marmailles reçus en VIM
par l’OM et l’OL ....

Yannick, Enzo, Merouane, Mathéo, Samuel, Allan, Anthony, Curtis et Krys étaient aux anges, au moment de pénétrer dans l’enceinte du Vélodrome. Ils ont écouté avec attention les explications et anecdotes de Fabrice Abriel, parrain de l’association. L’ex-footballeur, champion de France avec l’OM en 2010, a tenu à les emmener dans les coulisses du stade, des vestiaires des joueurs, à la pelouse, en passant par la salle de presse.

L’ancien marseillais a notamment pu leur faire découvrir les coupes remportées par l’équipe, dont les trophées de champion de France et de coupe de la Ligue, qu’il a pu soulever.

Dans les vestiaires des joueurs, ils ont notamment pu s’installer à la place de Balotelli ou Payet. Et surtout, ils ont pu s’approcher au plus près de la mythique pelouse du stade Orange Vélodrome, et même s’asseoir sur le banc de touche.

 

Après le Vélodrome, direction l’hôtel, où toute l’équipe de l’Olympique Lyonnais séjourne avant la rencontre OM/OL. Les marmailles découvrent la surprise de l’après-midi : ils vont pouvoir rencontrer les joueurs, dont Jérémy Morel, parrain de l’association 1000 Sourires. C’est grâce à lui que les marmailles ont pu faire la connaissance des joueurs de l’OL, avant cette rencontre décisive "l'Olympico OM / OL". Malgré la proximité de la rencontre, Mathieu Gorgelin, Lucas Tousart, Anthony Lopes et le capitaine Nabil Fekir ont ainsi pris le temps d’échanger avec les petits footballeurs, et ont pris la pose à leurs côtés pour des photos souvenirs. Lucas Tousart, qui a déjà eu l’occasion de participer à des actions avec l’Association 1000 Sourires, à La Réunion, en juin 2018, était heureux “d’entendre à nouveau parler créole”.

L’entraîneur de l’OL, Bruno Génésio, est également venu passer un moment avec les enfants. Jérémy Morel et Fabrice Abriel ont ensuite proposé une session questions/réponses aux enfants, qui ont joué les journalistes. Ils en ont profité pour poser toutes leurs questions sur le métier de joueur professionnel. Un beau moment de complicité avec les deux Réunionnais, parrains de l’association, réunis à Marseille.

 

 

“Je tiens à remercier Jérémy Morel, qui a accordé du temps aux enfants le jour d’une rencontre décisive pour son équipe, ainsi que Fabrice Abriel, qui est venu ici passer plusieurs jours avec les marmailles, pour leur plus grand bonheur. C’est un privilège pour nous d’avoir nos deux parrains réunis, souligne Ibrahim Ingar, parrain de l’association 1000 Sourires. Grâce à eux, nous pouvons faire vivre des moments d’exception à ces petits footballeurs qui viennent pour la première fois en métropole, et nous sommes sûrs qu’ils s’en souviendront longtemps”.

 

Le soir-même, Allan, Samuel, Merouane et leurs petits camarades ont pu réaliser l’un de leurs rêves : assister à un match de Ligue 1. Installés dans la tribune Ganay, ils ont pu voir évoluer les joueurs qu’ils ont rencontrés tout au long de leur semaine marseillaise.

 Plus de 60 000 spectateurs s’étaient rassemblés ce soir-là, pour un match déterminant. Côté lyonnais, ils ont ainsi reconnu Jérémy Morel, parrain de l’association 1000 Sourires, et côté marseillais, ils ont vu Valère Germain, qui a parrainé leur journée à l’OM Campus, entrer sur la pelouse à la 70e minute, suivi de Dimitri Payet, à la 77e minute. Très concentrés sur le match, ils ont applaudi, crié, chanté, jusqu’au coup de sifflet final. 3-0, l’OM s’incline face à l’OL, mais pour les petits Réunionnais, l’important, ce n’est pas le score. Ce qu’ils retiennent, c’est que “c’était exceptionnel de voir un match comme celui-là en vrai, et pas à la télé !”.

Pour Yannick, Enzo, Mérouane, Mathéo, Samuel, Allan, Anthony, Curtis et Kris, la journée de dimanche restera sans doute un souvenir marquant. Le séjour marseillais des neuf marmailles parrainés par l’Association 1000 Sourires se termine en apothéose, au stade Orange Vélodrome. Le lendemain, ils prennent la direction de Paris, en TGV. Un dernier regard vers Notre-Dame de la Garde, et les marmailles grimpent pour la première fois dans un train.