1000 Sourires au JT d'Antenne Réunion 12h30 (9 avril 2011)
Le tramway, un des principaux modes de transport ....
Quotidiennement, 26 rames de tramway réparties sur deux lignes desservent le centre ville : La ligne 1 relie Noailles à Les Caillols et reprend pour l’essentiel l’ancien tracé de la célèbre « ligne 68 » qui a été entièrement rénovée et prolongée au-delà de Saint-Pierre jusqu’aux Caillols donc. La deuxième ligne fait la liaison entre le centre moderne Euro méditerranée et Castellane.
Sur la ligne 1, Saint-Pierre constitue une étape importante pour la RTM (Réseau de transport marseillais), gestionnaires des lignes de tramway. C’est là en effet où sont implantés les ateliers d’entretien et de réparation des rames. « On intervient régulièrement sur les appareils. Dessus, dessous et même dedans », explique Eric Arucas, chef d’équipe maintenance.
Sur la ligne 1, Saint-Pierre constitue une étape importante pour la RTM (Réseau de transport marseillais), gestionnaires des lignes de tramway. C’est là en effet où sont implantés les ateliers d’entretien et de réparation des rames. « On intervient régulièrement sur les appareils. Dessus, dessous et même dedans », explique Eric Arucas, chef d’équipe maintenance.
Le temps d’une visite guidée dans les ateliers, les petits saint-paulois ont pu apprendre comment marche un tramway et poser diverses questions peut-être anodines mais pas du tout sans intérêt comme celle-ci : est que la roue du tramway s’use ?
« Pas très vite, mais elles s’usent » répond Eric Arocas. Tous les 55 000 km, les roues sont passées dans une énorme machine qui leur redonne leur aspect d’origine. « Mais l’usinage ne peut se faire qu’une seule fois. Après, on doit changer la grosse roue en fer », poursuit le chef d’équipe. Une fois par mois également, la rame subit un grand nettoyage alors que tous les soirs, une équipe effacent les traces laissées dans la journée par les nombreux voyageurs.
Nos petits saint-paulois se sont montrés très intéressés par cette présentation « intime » du tramway qui a fait naître chez certains d’entre eux une vocation. D’ici là, le tramway sera peut-être une réalité chez nous.
« Pas très vite, mais elles s’usent » répond Eric Arocas. Tous les 55 000 km, les roues sont passées dans une énorme machine qui leur redonne leur aspect d’origine. « Mais l’usinage ne peut se faire qu’une seule fois. Après, on doit changer la grosse roue en fer », poursuit le chef d’équipe. Une fois par mois également, la rame subit un grand nettoyage alors que tous les soirs, une équipe effacent les traces laissées dans la journée par les nombreux voyageurs.
Nos petits saint-paulois se sont montrés très intéressés par cette présentation « intime » du tramway qui a fait naître chez certains d’entre eux une vocation. D’ici là, le tramway sera peut-être une réalité chez nous.
Le métro, l’autre mode de transport
Après le tram, nos enfants ont été invités à bord du métro Marseillais direction le PCC (Poste de commandement centralisé), le centre névralgique du réseau. Depuis ce QG dont l’accès est règlementé, tout est contrôlé : l’énergie électrique nécessaire pour faire fonctionner les rames mais également les ascenseurs, le tapis roulant… Installés derrière un énorme écran, deux contrôleurs, un par ligne, observe le déplacement de chaque rame prêt à intervenir à la moindre alerte. Derrière eux, d’autres équipes surveillent depuis leurs postes d’ordinateurs l’ensemble des autres paramètres. « Nous avons 700 caméras installés un peu partout et qui nous permettent de tout voir et de réagir en temps réel » précise un des contrôleurs. Les équipes se relaient tout au long de la journée et de la nuit pour assurer la continuité du service. Il n’en faut pas moins lorsqu’on a un réseau qui transporte plus d’un demi-million de passagers par jour.