Baptême en hélicoptère avec Hélilagon
Junior et Thierry Jardinot jouent les pères Noël
pour les marmailles de 1000 Sourires

Cette fois, les enfants parrainés par l’Association 1000 Sourires n’ont fait que quelques kilomètres pour se rendre au point de rendez-vous de la 242éme opération. C’est dans leur quartier, à l’Eperon, qu’ils ont pu vivre une après-midi de rêve, préparée par Ibrahim Ingar, Président de 1000 Sourires , les partenaires et parrains de l’association.

Arrivés dans les locaux d’Hélilagon, les marmailles ont d’abord cru qu’ils étaient là pour admirer le bal des hélicoptères. Pour ces marmailles qui se retrouvent pour la première fois tout près d’un hélicoptère, voir atterrir l’un des appareils est déjà une sacrée expérience. “Je ne pensais pas que ça soufflait aussi fort”, crie Kyran, qui a déjà l’impression de s’envoler.

L’excitation a grimpé d’un cran quand les marmailles ont compris qui étaient les passagers de l’hélicoptère: l’humoriste Thierry Jardinot, parrain de l’association depuis sa création (en juin 2006) et le chanteur Junior qui a parrainé cette opération.

Les deux parrains ont été accueillis sous les applaudissements des enfants et se sont prêtés au jeu des photos avec leurs filleuls d’un jour.

Eric Aniort, Directeur Général Adjoint d’Hélilagon leur a alors annoncé l’une des surprises du jour : les petits chanceux vont s’envoler à tour de rôle, dans l’un des deux hélicoptères réquisitionnés pour cette après-midi de rêve. “Nous sommes heureux de vous offrir ce cadeau les enfants, en espérant que vous vous en souviendrez longtemps”, sourit-il.

A voir les sourires qu’affichent les marmailles, on dirait que la surprise fait son petit effet. “Les trucs volants, j’ai jamais fait”, balbutie Marjorie, encore sous le choc. “J’ai l’impression qu’on va plonger dans la mer, j’ai déjà le vertige dans mon ventre”, abonde Lyanna. Au moment du décollage, ceux qui ont un peu peur sont encouragés par leurs camarades pressés de s’envoler.

Et c’est parti pour une dizaine de minutes dans les airs. A bord de l’appareil, Kyran est tout fier de poser des questions au pilote, qui commente la visite pour donner des repères aux enfants. Le casque vissé sur les oreilles, le petit garçon n’en perd pas une miette : il reconnaît tour à tour la route des Tamarins, son école, puis sa maison !

Comme dans un clip de Junior

Une fois tous les vols terminés, les VIM ont eu droit au reste de leurs cadeaux. Junior a démarré un concert où ils étaient à la fois choristes, chanteurs et danseurs ! Comme dans un clip, les petits danseurs d’un jour ont exécuté la chorégraphie de “Tenpaw”, l’un des plus gros succès de Junior. “J’espère qu’il va mettre une vidéo avec nous sur son Instagram, tous mes copains vont être jaloux”, rigole Lyanna. Les enfants se sont ensuite pressés autour de lui pour une séance photo souvenir suivie d’une séance de dédicaces. Le chanteur a signé les t-shirts de chaque enfant, et à demander aux enfants de signer également le t-shirt de l’association qu’il portait pour l’occasion.

Puis l’après-midi s’est terminée par la traditionnelle distribution de cadeaux près du sapin. Junior a joué les lutins du Père Noël et a distribué des cadeaux, offerts par La Grande Récré, aux enfants sages.

Au moment de remonter dans le bus, les confidences vont bon train dans les rangs. “Mon cousin il ne va pas me croire quand je vais lui raconter cette journée, s’exclame Cléa. Junior c’est son chanteur préféré.”

“Je remercie Hélilagon, qui est un fidèle partenaire de l’association, souligne Ibrahim Ingar, Président de 1000 Sourires. Nous sommes heureux d’avoir permis à ces marmailles de l’Eperon de grimper à bord des hélicoptères, qu’ils voient habituellement de loin. Je tiens à également à remercier Junior, parrain de cette opération et Thierry Jardinot, parrain de l’association . Tous les deux sont des artistes que les enfants adorent. Nous sommes reconnaissant qu’ils aient accepté de donner de leur temps pour faire vivre vivre un Noël de Rêve aux marmailles et bien-sûr  un grand Merci à la Grande Récré pour les cadeaux” conclut Ibrahim Ingar.