Ibrahim INGAR - Président de l'Association 1000 Sourires
« Je tiens à remercier tous les partenaires qui se sont associés et qui ont cru à ce projet dès le départ, à Marseille, et aussi à la Réunion. Je remercie également Fabrice ABRIEL, notre parrain, sans qui ce projet n’aurait jamais pu voir le jour.
A mon échelle, je ne fais que fédérer les bonnes volontés autour de moi, et chacun à sa manière contribue à la réussite de ce projet un peu fou.
Grâce à vous tous, ces 12 enfants qui ne sont jamais parti en Métropole vont pouvoir vivre un séjour en V.I.M. (Very Important Marmailles) qu’ils ne seront pas près d’oublier. Ils vont toucher du doigt ce qu’ils ont l’habitude de voir à la télévision. Ils vont pouvoir visiter le stade Vélodrome, temple du football marseillais, et le centre d’entrainement Robert Louis Dreyfus à la Commanderie.
Pour ces enfants nés en 1998, année de la victoire de l’équipe de France en Coupe du Monde, c’est un véritable clin d’œil de la vie.
Ils vont également découvrir Paris, puis Marseille, la Patrouille de France, les Marins Pompiers de Marseille… Ils vont rêver, et rapporter dans leurs valises des souvenirs qui leur donneront de la force, une force qui leur permettront probablement de croire en leur avenir. Et cela, ça n’a pas de prix. »
A mon échelle, je ne fais que fédérer les bonnes volontés autour de moi, et chacun à sa manière contribue à la réussite de ce projet un peu fou.
Grâce à vous tous, ces 12 enfants qui ne sont jamais parti en Métropole vont pouvoir vivre un séjour en V.I.M. (Very Important Marmailles) qu’ils ne seront pas près d’oublier. Ils vont toucher du doigt ce qu’ils ont l’habitude de voir à la télévision. Ils vont pouvoir visiter le stade Vélodrome, temple du football marseillais, et le centre d’entrainement Robert Louis Dreyfus à la Commanderie.
Pour ces enfants nés en 1998, année de la victoire de l’équipe de France en Coupe du Monde, c’est un véritable clin d’œil de la vie.
Ils vont également découvrir Paris, puis Marseille, la Patrouille de France, les Marins Pompiers de Marseille… Ils vont rêver, et rapporter dans leurs valises des souvenirs qui leur donneront de la force, une force qui leur permettront probablement de croire en leur avenir. Et cela, ça n’a pas de prix. »