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A un jet de galet de la piste de l'aéroport Charles de Gaulle, l'imposant bâtiment qui tient lieu de siège à la compagnie nationale est impressionnant. Une ville dans la ville. Les chiffres aussi donnent le tournis. Près de 8 000 personnes y travaillent. Quotidiennement. 24 heures sur 24 presque. C'est là où tout se décide. C'est là aussi où Air France a installé son Centre de contrôle des départs et arrivées de ses avions, pour la gestion des passagers, des bagages... Un site hautement sensible. Un point névralgique ouvert à nos quatre petits Réunionnais.
Le lieu de rendez-vous est fixé dans le hall d'Air France. Eddine LECHLECH, Responsable de la communication de la compagnie à Réunion est déjà là. Il est rejoint par Cecile BELLOCQ, chargée de communication également pour la zone Caraïbes et océan Indien. C'est une des collaboratrices d'Antoine PUSSIAU, le Directeur Général d'Air France pour la zone Caraïbes et océan Indien. En dépit d'un agenda qu'on imagine chargé, l'homme accepte de bousculer son emploi du temps pour venir à la rencontre des petits Saint-Paulois. Mieux, installé à ce poste depuis une petite année, il accompagnera les marmailles tout au long de la visite.
Une visite qui démarre par le Centre de contrôle. "Je vais le découvrir en même temps que vous", avoue Antoine PUSSIAU, s'adressant aux enfants. Pour passer le portique d'entrée du bâtiment installé dans une sorte de grande caisse, il faut montrer patte blanche. La vigilance est la même que pour un embarquement sur un vol régulier d'Air France. La police de l'air et des frontières en moins.
Chaque visiteur doit justifier son identité, se débarrasser de tout objet métallique avant de passer sous un portique ultra sensible. Le Centre de contrôle est, il est vrai, les yeux et les oreilles de la compagnie. Construit en bordure de piste, il permet aussi d'accéder à des zones ultra sensibles. On comprend mieux toute la sécurité mobilisée.
Chaque visiteur doit justifier son identité, se débarrasser de tout objet métallique avant de passer sous un portique ultra sensible. Le Centre de contrôle est, il est vrai, les yeux et les oreilles de la compagnie. Construit en bordure de piste, il permet aussi d'accéder à des zones ultra sensibles. On comprend mieux toute la sécurité mobilisée.
Nos marmailles en tout cas s'amusent de toutes ses attentions. C'est Joëlle SAHLER, la Responsable du CC Hub qui nous sert de guide. Direction le premier niveau pour une rapide présentation du site. "Ici, on gère plus de 900 vols (arrivées et départs) par jour. En période de pointe, ce sont 130 000 passagers qui arrivent ou transitent par Charles de Gaulle. On est chargé de suivre tout ça, de veiller à ce que les voyageurs ne ratent pas leurs correspondances, que les bagages suivent bien leurs propriétaires...", explique Joëlle SAHLER avant de conduire tout le groupe au coeur même de ce centre opérationnel.
Là, ils sont des dizaines d'agents postés derrière leurs ordinateurs à observer, orienter, gérer... bref à coordonner l'ensemble des mouvements des avions d'Air France mais aussi autour des appareils de la compagnie. Une flotte dont la moyenne d'âge est de 8 années et composée de pas moins de 246 exemplaires répartis en 10 modèles. "On s'occupe vraiment de tout. Quand il fait trop froid par exemple et qu'un avion a les ailes recouvertes de givre, on organise tout pour l'emmener sous le seuil de dégivrage", détaille encore la responsable du Centre de contrôle rappelant que son personnel est opérationnel 24 heures sur 24. Du moins presque.
Là, ils sont des dizaines d'agents postés derrière leurs ordinateurs à observer, orienter, gérer... bref à coordonner l'ensemble des mouvements des avions d'Air France mais aussi autour des appareils de la compagnie. Une flotte dont la moyenne d'âge est de 8 années et composée de pas moins de 246 exemplaires répartis en 10 modèles. "On s'occupe vraiment de tout. Quand il fait trop froid par exemple et qu'un avion a les ailes recouvertes de givre, on organise tout pour l'emmener sous le seuil de dégivrage", détaille encore la responsable du Centre de contrôle rappelant que son personnel est opérationnel 24 heures sur 24. Du moins presque.
Après le Centre de contrôle, toute l'équipe est invitée dans un des trois restaurants de la compagnie partager le repas de Noël. Foie gras, bouchée à la Reine aux fruits de mer, pavé de boeuf aux marrons... constitue une partie du menu du jour. L'heure arrive ensuite de prendre congé de ses hôtes.
"Je suis très fier de vous avoir accueilli ici", lance Antoine PUSSIAU à l'intention des enfants. Le directeur général pour la zone Caraïbes et océan Indien encourage ensuite les petits Saint-Paulois à faire d'autres voyages. "Quand on y croit, tout fini par arriver. Tout peut arriver". Une transition toute trouvée pour Ibrahim INGAR, le Président de l'Association 1000 sourires. "J'ai cru à mon projet. Ce qui me permet aujourd'hui de le réaliser et de faire vivre un merveilleux rêve aux enfants", conclut-il.
"Je suis très fier de vous avoir accueilli ici", lance Antoine PUSSIAU à l'intention des enfants. Le directeur général pour la zone Caraïbes et océan Indien encourage ensuite les petits Saint-Paulois à faire d'autres voyages. "Quand on y croit, tout fini par arriver. Tout peut arriver". Une transition toute trouvée pour Ibrahim INGAR, le Président de l'Association 1000 sourires. "J'ai cru à mon projet. Ce qui me permet aujourd'hui de le réaliser et de faire vivre un merveilleux rêve aux enfants", conclut-il.
Le Bourget : Voyage vers le passé
"Grâce à l'avion, les kilomètres ont été réduits. En quelques heures d'intervalle, on peut être un peu partout dans le monde". La phrase est de Antoine Pussiau. Mais avant d'en arriver là, plusieurs étapes ont été necessaires. Beaucoup y ont cru. Plus nombreux encore ont écrit l'histoire de l'aviation, certains y ont même laissé leur vie... Pour comprendre l'aviation, Air France proposait à nos petits Saint-Paulois une visite du musée de l'aviation et de l'air installé au Bourget.
Le Bourget, c'est ce vieil aéroport aujourd'hui ouvert exclusivement aux propriétaires d'avions privés mais d'où sont parties beaucoup d'histoires de l'aviation française.
Yann, Maëva, Julien et Orlane ont pu revivre cette fabuleuse aventure à travers des répliques, parfois de réelles exemplaires de ces avions qui ont écrit les pages de l'aviation française. Les marmailles ont pu contempler ces drôles de machines qui ont fait croire à ses inventeurs que les hommes pouvaient voler ; découvert ces avions de chasse qui ont quelque peu changé le cours de l'histoire ; voir des appareils qui ont bouleversé la vie des habitants de cette terre.
Comme toujours, nos quatre marmailles sont repartis la tête remplie d'images. Une chose est sûre maintenant, ils ne regarderont plus un avion de la même façon.
Cliquer ici pour voir les photos de la visite
Le Bourget, c'est ce vieil aéroport aujourd'hui ouvert exclusivement aux propriétaires d'avions privés mais d'où sont parties beaucoup d'histoires de l'aviation française.
Yann, Maëva, Julien et Orlane ont pu revivre cette fabuleuse aventure à travers des répliques, parfois de réelles exemplaires de ces avions qui ont écrit les pages de l'aviation française. Les marmailles ont pu contempler ces drôles de machines qui ont fait croire à ses inventeurs que les hommes pouvaient voler ; découvert ces avions de chasse qui ont quelque peu changé le cours de l'histoire ; voir des appareils qui ont bouleversé la vie des habitants de cette terre.
Comme toujours, nos quatre marmailles sont repartis la tête remplie d'images. Une chose est sûre maintenant, ils ne regarderont plus un avion de la même façon.
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